Comment a-t-on pu vivre tout ce temps sans connaître Sarah Mary Chadwick ?
Car elle ne sort pas de nulle part, la néo-zélandaise de naissance dont la carrière l’a conduite à vivre notamment en Australie et en Angleterre.
Jadis chanteuse au sein du trio grungy Batrider, elle a ressenti au bout de 10 années -faites de tournées et de changements de line-up- une forme de lassitude doublée d’un besoin d’émancipation.
Jadis chanteuse au sein du trio grungy Batrider, elle a ressenti au bout de 10 années -faites de tournées et de changements de line-up- une forme de lassitude doublée d’un besoin d’émancipation.
Revenue finalement habiter à Melbourne, elle publie aujourd’hui un 4ème album solo à la beauté renversante: « Sugar Still Melts In The Rain« .
Elle a beaucoup de choses à raconter Sarah. Pas forcément des choses toujours joyeuses, mais elle parvient à y mettre une forme de dérision et de fatalisme qui rendent ses textes moins pesants.
Quant à sa voix, elle est capable de coller des frissons à n’importe quel être vivant doté d’un cœur, et d’un minimum de sensibilité.
Quant à sa voix, elle est capable de coller des frissons à n’importe quel être vivant doté d’un cœur, et d’un minimum de sensibilité.
Comme tout artiste qui se respecte elle possède plusieurs cordes à son arc et un talent certain pour le dessin. D’ailleurs, devinez qui est l’auteur de la pochette ? Facile…
Et si c’était sa bio qui résumait le mieux Sarah Mary Chadwick: « She drinks, she watches porn, she draws and she writes« .
La femme parfaite ? On vous laisse juger.
THOMAS