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Odezenne : « nucléaire » (vidéo + paroles)

Cette journée du 25 avril se déroulait sans chichis quand, brusquement et sans prévenir, Odezenne est sorti du bois.
Autant vous dire que l’on ne va pas bouder notre plaisir, la présence des bordelais s’étant faite rare ces derniers temps.
Visiblement affairés à préparer la suite de « Dolziger Str. 2 », ils nous livrent aujourd’hui une 1ère piste sur ce à quoi ressemblera le cru Odezenne 2018.





« Nucléaire » figurera donc dans un album dont le nom et la date de sortie seront annoncés prochainement.
En parlant de date, devinez quoi ? En voici quelques unes qui risquent vous plaire, à savoir celles annonçant la venue du trio dans une douzaine de villes de l’hexagone !
Et ce n’est que le début….
08.11 NANTES / Stereolux
09.11 ROUEN / le 106
10.11 TOURS / Temps Machine
15.11 TOULOUSE / Bikini
16.11 MONTPELLIER / Rockstore
17.11 MARSEILLE / Cabaret Aleatoire
22.11 LYON / Transbordeur
23.11 FRIBOURG / Fri-Son
24.11 STRASBOURG / La Laiterie
28.11 BRUXELLES / AB
29.11 PARIS / Trianon
30.11 LONDON / Jazz Cafe
01.12 LILLE / Aeronef
En prime et car on sait que l’on compte parmi vous de vrais lettrés, Odezenne nous offre l’intégralité des paroles de leur nouveau titre.

« Car tu m’es chère,
je ne compte pas,
je ne compte plus.

Comme tu m’éclaires au nucléaire j’ai le ciel
BLEU
Tu me ramènes quand je déraille un jour sur
DEUX
Le temps qui passe sans ton visage c’est pas
HEUREUX
J’aime pas compter j’aime pas savoir qui gère
LE JEU
Jouer entre nous ça reste jouer avec
LE FEU
Au fond des corps un coeur qui bat ça se bat
VIEUX
Et les nuages qui scindent le ciel
UN PEU
Le temps qui passe, ça n’a pas d’âge ce n’est pas
DIEU

Il y aura de quoi faire des histoires faire des envieux
Et au final, t’auras ta part, t’auras pas
MIEUX

Car tu m’es chère,
je ne compte pas,
je ne compte plus.

Comme tu m’éclaires au nucléaire j’ai le ciel
VIEUX
Tu me ramènes quand je déraille les jours
HEUREUX
Le temps qui passe sans ton visage c’est pas
DU JEU
J’aime pas compter, j’aime pas savoir qui gère
LE FEU
Jouer entre nous ça reste jouer avec
LES DIEUX
Au fond des corps un coeur qui bat ça se bat
MIEUX
Et les nuages qui scindent le ciel
EN DEUX
Le temps qui passe ça n’a pas d’âge ce n’est pas
PEU

Il y aura de quoi faire des histoires faire des envieux.
Et au final, t’auras ta part, t’auras pas
DE BLEUS« 

THOMAS