Romy Vager (la chanteuse de RVG) a clairement résumé les choses: « si nous ne pouvions sortir plus qu’un seul album, ce serait celui-ci » . Une vraie déclaration d’amour pour ce « Brain Worms » -que nous chroniquions ici– et une manière d’assumer pleinement la direction musicale prise par le groupe.
On était habitué à une musique sombre, intense et parfois déchirante de la part des australiens qui se sont hissés parmi les références mondiales du post-punk… eh bien rassurez-vous c’est toujours le cas, même si ce troisième album laisse entrapercevoir de nouvelles perspectives/éclaircies.
De retour à Paris, ils joueront cette fois le 11 septembre au Hasard Ludique.