Cette semaine on débute avec le nouvel album de The Finks, ce groupe que nous avions (tardivement) découvert en 2018 avec la sortie de « Rolly Nice » .
Aux manettes on retrouve toujours Oliver Mestitz et son esthétisme si délicat, touchant aussi bien aux textes, à la musique qu’aux visuels.
On reste en Australie avec le premier et très attendu album de The Slingers, qui parait chez Flightless Records.
Très attendu car il aura fallu pas moins de cinq années pour que « Sentimentalism » voit le jour, précédé par plusieurs titres sortis ici et là. Une longue et fructueuse période durant laquelle le quintet aura exploré et mis au point son propre style musical intitulé « Motel Pop ». Pour définir ce dernier, on n’a pas trouvé meilleur descriptif que celui fourni par le label: « Le genre est moins défini par la production que par son contenu lyrique, relatant avec un mélange de comédie et de tragédie la vie de gens ordinaires vivant et luttant à travers notre époque actuelle de solitude. »
