Cette semaine on débute avec un album sorti de nulle part: celui de Dean Blunt.
Pas très habitué aux plans promo et encore moins aux réseaux sociaux, l’anglais nous prend donc de court avec la suite de « BLACK METAL », qui figurait en bonne place dans notre Top 20 de l’année 2014.
On poursuit avec les ondes positives des Quivers, qui s’étaient déjà illustré il y a quelques mois en reprenant l’intégralité de l’album de R.E.M. « Out of Time« , et en se servant d’une partie de la vente des vinyles pour financer l’enregistrement de « Golden Doubt« . Ce dernier regorge de délicieuses mélodies et d’arrangements soignés, soit un travail d’équipe impeccable.
Place au doyen Jeb Loy Nichols et à son nouvel album (on doit en être à une bonne dizaine en solo, facile) sobrement intitulé « Jeb Loy« .
Au fil de sa carrière, l’américain -qui habite désormais au Pays de Galles- a eu l’occasion de collaborer avec de nombreux artistes aussi variés que Adrian Sherwood, Ian Gomm, Andrew Hale ou encore Groove Armada, et de s’essayer à l’écriture et la peinture. Un homme à tout faire et à bien faire.
Il nous a fallu un certain temps (en l’occurrence quatre titres) pour totalement rentrer dans ce 18ème (!!!) album des King Gizzard & The Lizard Wizard. Il faut dire que « Butterfly 3000″ a de quoi surprendre, car à mille lieux de ce à quoi les australiens nous avaient habitués… bon ok, en fait ils nous ont surtout habitués à faire comme bon leur semblait et cette fois leur lubie a consisté, à partir de boucles réalisées sur des synthés modulaires, de composer dix morceaux.
Jeb Loy Nichols – Jeb Loy
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King Gizzard & The Lizard Wizard – Butterfly 3000
THOMAS