Ainsi, on tente actuellement de percer le mystère des Caméléons Brothers, un duo dont les vidéos nous fascinent car, pour parler crûment, on ne sait si c’est du lard ou du cochon.
Un mélange de clips, de coups de gueule et de pépites… de beaucoup de pépites.
Du visionnage des vidéos de Fred et Christopher, il résulte différentes grilles de lecture : du premier, du second voire du troisième degré.
Mais après tout qu’importe l’interprétation que l’on en fait, dès lors que l’on y trouve une forme de poésie, d’humour, de talent (on sera tous d’accord pour le reconnaître) et de sincérité.
Il faut donc saluer cette prouesse qui consiste à fédérer un public aussi hétéroclite que les pièces constituant une robe Desigual.
On débute avec ce qui aurait pu/dû être le tube de notre premier confinement : "Tous besoin d’amour".
Dans une mise en scène digne des plus grands et un déluge d’effets spéciaux, nos deux gaillards arpentent les rues de Paris en brandissant des drapeaux bleu blanc rouge, avant de se retrouver casquettes à l’envers dans leur home studio et d’entonner le refrain de tout un peuple.
Les fans d’ailleurs ne s’y trompent pas et il suffit de lire leurs commentaires empreints d’émotion pour mesurer l’impact des Caméléons Brothers sur la culture urbaine.
On espère donc que "Pleure" sortira prochainement (accompagné un clip revanchard) pour rétablir la vérité et qu’il dépassera le nombre de vues/d’écoutes de la désormais cancelled chanson d’Amel Bent.
Les Caméléons Brothers reprennent le thème des "Jeux Interdits" et y posent leurs mots, tout en subtilité et avec la justesse qui les caractérise.
Difficile de ne pas être ému face aux images qui défilent et aux harmonies vocales qui s’enchainent.
THOMAS
Aucun commentaire:
Publier un commentaire